Nous arrivons donc le matin à l'entrée de ce parc. Y a du monde (normal cela vient d'ouvrir) et la structure en bois m'impressionne).
Quelle première attraction pour débuter? Baron 1992 1898. Il s'agit d'un dive coaster, que Nemo apprécie beaucoup (même d'habitude je me méfie, il a mauvais gout), thématisé sur une mine d'or de charbon. C'est haut, c'est fun, j'ai le vertige, je veux le refaire au premier rang. Bref, la journée commence bien! Deuxième attraction de la journée, le Hollandais volant, ou De Vliegende Hollander (si vous parlez leur langue barbare). Le parcours est merdique, mais zut c'est bien fait. La file d'attente, le quai d'embarquement, du niveau de Disney. Mais surtout surtout, la partie dans la brume, un effet que Disneyland paris est incapable de faire. C'est simple, et efface: on est dans la brume, on voit rien si ce n'est la lanterne à la proue du bateau. C'est classe, j'aime, Nemo valide! Hop, on se dirige maintenant vers Python, qui a subi une rénovation totale de son parcours qui fait que cela ne vibre pas! Une fluidité très appréciable (#SpaceMountain #Rock'n'roller coaster ). Par contre, attention, aucune file d'attente classique, vous passez obligatoire par un système type FP. C'est bizarre... On va alors grignoter. C'est pas ouf mais c'est pas cher. Donc ok pour moi.
Au loin, une aventure nous appelle, un duel de wooden coaster: Joris en de Draak aka le Dragon. Alors ok l'effet du dragon qu'on m'a survendu ne fonctionnait pas (sous-traitance par DLP?) mais la montagne est top. J'ai aimé.
On va alors enchainer avec des rides mineurs et très spéciaux, que je discuterai avec vous dans un prochain épisode.

VDR, Fourche (si ton tel est réparé

